Actuellement a wanindara
Nuit et jour y’a des hommes armés qui sont dans des pickup pour récupérer des motos et embarquées.
C’est quoi au juste ce nouveau projet ?

Le président du CNT, dr Dansa Kourouma humilié sur les ondes de TV5 avec la VAR.

Le CNRD est une déception

J’ai éprouvé une grande satisfaction à partager, avec un auditoire sensible à la violation des droits de l’homme, mon expérience de leader d’un parti d’opposition ayant subi, 16 années durant, des violences policières et des persécutions politiques en l’absence de tout recours, la justice étant inféodée à l’Exécutif, comme c’est toujours le cas dans mon pays.

Les échanges avec les étudiants ont été d’une grande richesse, non seulement par la pertinence de leurs questions, mais aussi pour l’intérêt qu’ils ont porté à ma présence et à mon expérience personnelle.

Je tiens à remercier le corps professoral et les étudiants de la Colombia University pour la qualité de nos échanges et pour m’avoir donné l’opportunité de visiter ce temple du savoir et d’échanger avec eux sur les violations des droits de l’homme et des libertés publiques, hélas toujours en cours dans mon pays.

PARIS-C’est une annonce majeure que vient de faire le ministre guinéen des affaires étrangères! Présent à Paris où il a pris part ce mercredi 18 septembre à la Conférence Ministérielle de la Francophonie (CMF) qui se tient en amont du Sommet de la Francophonie prévue en début octobre prochain, Dr. Morissanda Kouyaté a annoncé que toutes les élections (devant concourir au retour à l’ordre constitutionnel) se tiendront en 2025.

« Le calendrier tel que décliné à ce jour devrait nous conduire à tenir d’élections générales. Toutes élections se tiendront en Guinée en 2025« , a déclaré le chef de la diplomatie guinéenne.

Dr Morissanda Kouyaté ajoute  que la première consultation se fera avant la fin de cette année, c’est-à-dire l’adoption de la constitution.
« Comme c’est au niveau de la magistrature suprême que les populations et la communauté internationale perçoivent mieux les avancées démocratiques, nous pourrions même commencer par l’élection présidentielle comme gage d’engagement« , a indiqué le ministre des Affaires Étrangères.

CONAKRY- « Les choses ont changé et chacun doit changer y compris Labé. Pendant les prochains 15 ans, l’armée va garantir le programme de Simandou, le CNRD va le garantir et la jeunesse va se mettre au travail… Alors ceux qui ne veulent pas travailler (avec le CNRD) n’auront pas d’autre choix que de quitter la Guinée… ». Déclaration du ministre de la jeunesse et des sports Kéamou Bogola Haba devant des jeunes de Labé, le dimanche 15 septembre 2024, à l’occasion du coup d’envoi du tournoi de football doté du trophée général Mamadi Doumbouya. Du berger à la bergère, Cellou Baldé de l’UFDG, ancien député uninominal de Labé a répliqué aux propos de son ancien compagnon d’infortune à la maison centrale. il prévient que nul ne quittera la Guinée à cause ses opinions.

Propos dangereux, va-t-en-guerre et irresponsables
« Pour moi c’est un discours va-t-en-guerre et des propos irresponsables et dangereux. Quand un ministre de la république fut-il d’un gouvernement de transition affirme que des guinéens n’auront pas le choix que de quitter la Guinée s’ils ne sont pas en phase avec la violation des règles et des principes démocratiques, que des Guinéens qui ne sont pas d’accord avec la violation des droits de l’homme, que des Guinéens qui ne sont pas d’accord que des militaires gardent éternellement le pouvoir, que des Guinéens qui ne sont pas d’accord que d’autres Guinéens soient kidnappés, tués, emprisonnés pour leurs opinions, qu’un ministre de la république affirme que ces guinéens n’ont pas d’autres choix que de quitter le pays, vous conviendrez avec moi que ce sont des propos dangereux, irresponsables »,  réagit ce proche collaborateur de Cellou Dalein Diallo.

Dadis ou la mort
Rappelant le rôle qu’avait joué Kémou Bogola Haba au temps du CNDD du capitaine Moussa Dadis Camara en 2009 et les slogans qu’il scandait à l’époque, ce cadre de l’UFDG affirme que l’attitude de cet ancien allié de l’ANAD ne le surprend pas.
« Ces propos venant de ce ministre (Kémou Bogola Haba) ne me surprend pas, ne m’étonne pas et cela ne surprend pas l’ensemble des Guinéens. Nous connaissons un peu le rôle qu’il a joué au temps du CNDD, le slogan ‘’Dadis ou la mort’’ on sait d’où ça vient et de qui ça venait. Aujourd’hui Dadis est à la Maison Centrale et il est condamné à 20 ans d’emprisonnement ferme. Ce sont ces propos dangereux et radicaux de ces gens qui ont fait que le CNDD s’est retrouvé dans le pétrin et ce sont ces mêmes personnes qui se retrouvent autour du CNRD parce qu’ils ne peuvent vivre que dans le chaos, dans la manipulation et dans le mensonge. Ils ne peuvent pas vivre dans le respect des règles et des principes démocratiques, la libre compétition conformément aux lois que nous avons votées dans ce pays et conformément à la charte de la transition », a rappelé Cellou Baldé.

L’ancien député uninominal de Labé invite Kémou Bogola Haba à mesurer les conséquences des propos qu’il tient pour éviter que la Guinée ne plonge dans des crises en cette période de transition.
« Ce sont des propos dangereux et irresponsables surtout dans le contexte actuel de notre pays. Nous sommes en période de transition et qui dit période de transition dit période de rupture de légitimité. Et donc, chaque Guinéen, même un simple citoyen devrait mesurer ses propos à plus forte raison un ministre de la république investi de responsabilités au haut sommet de l’Etat qui tient des propos comme ça.

Personne ne va quitter la Guinée
Non, nous ne quitterons pas la Guinée, non, nous n’irons pas en exil, nous allons vivre dans ce pays mais le retour à l’ordre constitutionnel se fera et monsieur Haba apprendra ça à ses dépens parce que les Guinéens ne se laisseront pas faire, les Guinéens prendront leurs responsabilités. Je suis d’ailleurs convaincu que le Général Mamadi Doumbouya pour lequel ils sont en train de faire tous ces tapages et au nom duquel ils sont en train de tenir tous ces propos dangereux et irresponsables qu’il soit informé ou pas, je crois que lui-même il tirera les leçons à temps opportuns et il ne se présentera pas aux élections pour le retour à l’ordre constitutionnel. Je suis persuadé qu’il tirera les leçons, qu’il va réfléchir 1000 fois et qu’il va comprendre qu’on ne peut pas organiser le procès des événements du 28 septembre 2009, avoir Dadis, Thiégboro et tous les autres qui ont été condamnés pour des faits que nous connaissons tous et qui sont en prison et que lui aussi il accepte de troquer sa tenue militaire contre une candidature.

Je suis persuadé que d’ici le 31 décembre 2024 le Général Mamadi Doumbouya va prendre une décision qui surprendra le peuple de Guinée et cela sera aux risques et périls de ceux qui sont en train aujourd’hui de tenir des propos irresponsables, dangereux et des propos va-t-en-guerre qui ne feront qu’exacerber les hostilités entre les filles et fils de la Guinée.
Je lance un appel à Bogola Haba, à tous ses collaborateurs et à tous ceux qui parlent comme lui, d’arrêter de plonger la Guinée dans l’inconnu à travers des messages dangereux, des messages irresponsables. Pourquoi dire à des Guinéens qu’ils doivent quitter la Guinée ? quitter la Guinée pour aller où ? Le Simandou c’est pour toute la Guinée, l’or, le diamant et le calcaire de Mali Yimbering là-bas c’est pour toute la Guinée, le port, l’aéroport c’est pour tous les Guinéens. Donc ils n’ont qu’à favoriser la culture de l’alternance dans notre pays pour que ce pays puisse amorcer le développement socio-économique », a-t-il lancé dans une interview accordée à africaguinee.Com

« Nous souhaitons que les pays qui pourraient l’accueillir ne servent pas de base de déstabilisation de la Guinée », a réagi Amadou Oury Bah sur la chaîne allemande Deutch Welle.

Depuis la veille du 5 septembre 2024, marquant les trois ans de la fin de son pouvoir, Alpha Condé a multiplié les sorties médiatiques tout en donnant des indices sur sa présence sur le continent africain. L’ex chef d’Etat n’a pas révélé le nom de son pays d’accueil, pour le moment.

A Conakry, même si le chef de l’exécutif guinéen a exprimé des craintes, il ajoute qu’il n’a pas reçu une information officielle sur ce chapitre.

Le FBI a annoncé enquêter sur une “tentative d’assassinat” présumée.

Le milliardaire se trouvait dans son club de #golf de #WestPalmBeach, en #Floride, quand plusieurs de ses agents ont “ouvert le feu sur un homme armé” qui se trouvait près du bord du terrain.

Un fusil #AK47 à lunette, deux sacs à dos et du matériel d’enregistrement vidéo ont été retrouvés par les autorités. Le suspect s’est enfui à bord d’une voiture noire, mais un témoin a aidé la police à identifier le véhicule et les autorités l’ont retrouvé.

Un responsable du Secret a toutefois reconnu que les autorités n’étaient “pas sûres à l’heure actuelle que l’individu ait pu tirer sur les agents.

Lors d’une adresse à la nation, le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye a annoncé, jeudi 12 septembre, la dissolution de l’Assemblée nationale et fixé la date des législatives au 17 novembre prochain.

Le chef de l’État pouvait décider à partir de jeudi de dissoudre le Parlement hostile au pouvoir, et convoquer un scrutin anticipé qui pourrait lui donner la majorité nécessaire pour mettre en place sa politique, selon le délai imparti par la Constitution.

“Je dissous l’Assemblée nationale pour demander au peuple souverain les moyens institutionnels qui me permettront de donner corps à la transformation systémique que je leur ai promise. Aujourd’hui plus que jamais l’heure est venue d’ouvrir une nouvelle temporalité à notre quinquennat”, a déclaré à la télévision nationale le chef de l’État, élu en mars 2024.

Selon lui, les blocages des derniers jours à l’Assemblée l’ont convaincu que “le gage d’une collaboration franche avec la majorité parlementaire (…) était une illusion”. “Celle-ci ayant décidé de se détourner du Peuple pour promouvoir le culte du blocage et ainsi entraver la mise en oeuvre du Projet sur la base duquel j’ai été élu”, a-t-il affirmé.

Président de “rupture”

Durant son court discours, Bassirou Diomaye Faye a égratigné la gestion économique de son prédécesseur Macky Sall, fustigeant des “manquements” qui ont “détérioré les finances publiques du pays”.

Citant un audit soumis à la Cour des comptes, il a dénoncé “des dérapages volontairement cachés”, “avec une évolution incontrôlée de la masse salariale, de la dette et des intérêts de la dette, une non maîtrise des subventions et un dérapage dans les tirages sur ressources extérieures”.

Il a promis que le rapport approuvé par la Cour des comptes serait publié.

Élu en mars 2024 sur une promesse de “rupture” politique, le chef de l’État âgé de 44 ans, chantre d’un panafricanisme de gauche et du souverainisme, suscite d’immenses attentes parmi la jeunesse de ce pays ouest-africain où les trois quarts de la population ont moins de 35 ans.

Mais les nouvelles autorités n’ont toujours pas engagé de chantier majeur, certains justifiant cette inaction par l’absence de majorité au Parlement.

Comme sous le régime de l’ex-président Macky Sall, des milliers de Sénégalais continuent de tenter de rejoindre l’Europe malgré les périls, principalement via l’archipel espagnol des Canaries. Et les tragédies se succèdent.

Ce haut cadre remplace Moussa Cissé (qui était là depuis avril 2024) à ce poste.